Dans la vie, tout ne se déroule pas tou­jours comme prévu. Une pro­mo­tion tarde et votre plan de car­rière bat de l’aile. Une rela­tion échoue et vous passez votre temps à analyser les raisons de cet échec. Pour être vrai­ment en paix il faut voir « l’œu­vre que Dieu a faite, du com­mence­ment jusqu’à la fin », et accepter qu’il agisse selon son tim­ing. N’avez-vous jamais ten­té d’ou­vrir la porte d’entrée quand vous êtes pressé(e), les bras chargés, et le télé­phone qui sonne à l’in­térieur ? Vous avez la bonne clé, mais elle ne tourne pas parce que vous forcez. Dès que vous vous déten­dez, la porte s’ou­vre sans prob­lème. Un thérapeute affirme : « Arrêtez de vouloir forcer les choses. Vous vous sabotez vous-même. Dès que vous jugez une sit­u­a­tion bonne ou mau­vaise, vous pensez devoir inter­venir. Par exem­ple, face à la réus­site de quelqu’un, vous cherchez à vous com­par­er : Suis-je meilleur(e) ou pire ? Com­ment puis-je m’amélior­er ? Vous êtes fatigué(e) avant de com­mencer ! Si la route grimpe, mon­tez ! Si vous devez éviter un obsta­cle, con­tournez-le ! Acceptez le chemin qui s’ou­vre devant vous. La Bible dit : “Il y a pour toute chose un temps et un juge­ment” (Ec 8.6). Ça veut dire que cer­tains jours on n’ob­tient pas ce que l’on veut. Peut-être qu’au préal­able cer­taines choses doivent se pass­er, que Dieu veut vous don­ner une bonne leçon et vous cherchez à l’éviter, ou que ce n’est sim­ple­ment pas l’heure. Ne cherchez plus à forcer les échéances. Faites sere­ine­ment ce que vous pou­vez, con­fiez le reste à Dieu, et con­statez que l’im­pos­si­ble se réalise. »