Nicole Unice, direc­trice de min­istère, écrit : « J’ai par­fois de bonnes idées, je le sais, mais j’hésite à trop les partager ou à rêver trop grand. Et si ça ne mar­chait pas ? Et si les gens ne les aimaient pas ? Et si mes supérieurs reve­naient sur mon con­trat ? Un jour, j’ai écrit sur le mur de mon bureau : Peu importe l’échec ! Et vous, qu’auriez-vous envie de faire et que vous ne faites pas de peur d’échouer ? Quels pro­jets pour­suiv­ez-vous, bien qu’ils ne rem­plis­sent plus leurs objec­tifs ? Quelles tech­nolo­gies évitez-vous ? Que refusez-vous d’apprendre sous pré­texte que vous êtes vieux et rouil­lé ? Si vous n’avez rien prévu de dan­gereux, alors vous échouez en tant que leader. A moins d’insister pour innover ou créer, vous toucherez tou­jours les mêmes per­son­nes. Si vous “com­mencez les tâch­es que Dieu vous a con­fiées”, vous devrez repouss­er les lim­ites et ten­ter des choses qui peu­vent échouer. » John Mason écrit : « N’ayez pas peur de vous tromper…sinon, vous ne gran­dis­sez pas. Ceux qui ont réus­si arrê­tent de grandir et d’apprendre le jour où ils ne veu­lent plus pren­dre de risques. L’échec est un con­tretemps, pas une défaite. Une dévi­a­tion pro­vi­soire, pas une impasse. Tout le monde fait des erreurs, surtout ceux qui ten­tent. Paul dit : “Loué soit Dieu qui nous donne la vic­toire par notre Seigneur Jésus-Christ” (1Co 15.57, BFC). Un échec est sou­vent le pre­mier pas vers le suc­cès. À moins d’être prêt(e) à pren­dre des risques, vous n’aurez aucune chance de réus­sir. » Aujourd’hui, faites con­fi­ance à Dieu et pro­gressez dans la foi !