Les schémas de pensée que vous établissez vous mettent sur pilote automatique. Dans certaines situations, vous réagissez de manière préprogrammée. Parfois, c’est bien, comme le réflexe d’éviter un danger. D’autres fois, vous devez couper le pilote automatique et empêcher votre esprit d’aller dans la mauvaise direction. Par exemple, vous redoutez depuis toujours de passer les fêtes avec des cousins éloignés. Cette année, vous pouvez choisir de penser : « Ça ne sera pas facile, mais je vais tenter de trouver leurs bons côtés. » Peut-être avez-vous pris l’habitude de vous plaindre chaque fin de mois lorsque tombent les échéances. Dites-vous plutôt : « Je vais tout faire pour rembourser mes dettes. » Vous détestez peut-être votre emploi, votre patron ou vos collègues. Dans ce cas vous avez deux options : rester négatif et critique, ou dire : « Je suis content(e) de travailler. Bien des gens n’ont pas cette chance. Je vais chaque jour donner le meilleur de moi-même, et faire confiance à Dieu pour me réconcilier avec mon patron. L’environnement n’est peut-être pas idéal, mais je ferai ma part pour le rendre agréable pour moi-même et pour mon entourage. J’aimerais une augmentation, donc je vais faire le nécessaire pour la mériter. » Au lieu de réagir aux premières pensées qui vous traversent l’esprit, faites l’effort de penser autrement. Ça demande un petit peu d’entraînement mais le résultat en vaut la peine. Accordez vos pensées à celles de Dieu. Il deviendra votre partenaire pour tout ce que vous devez accomplir.