Besoin de moti­va­tion ? Observez un palmi­er. 1) Vous pou­vez le couper mais pas le tuer ! Les minéraux et nutri­ments dont la plu­part des arbres ont besoin pour sur­vivre se trou­vent en sur­face, juste en-dessous de l’écorce. Quand vous les coupez, ils meurent. Ce n’est pas le cas du palmi­er. Sa vie vient de l’intérieur. Il s’épanouit, même mal­traité. Écoutez : « Nous por­tons ce tré­sor dans des vas­es de terre » (2Co 4.7). Extra­or­di­naire ! Même si le vase de terre se bri­sait, le tré­sor qu’il con­tient serait en sécu­rité, hors d’atteinte de l’ennemi ! 2) Il plie mais ne rompt point. Les tem­pêtes trop­i­cales peu­vent emporter tous les arbres sauf le palmi­er. Plus le vent est fort, plus il se penche, par­fois même jusqu’au sol. La tem­pête passée, il se redresse, plus fort encore. Quel tableau ! Nous pou­vons pli­er mais pas rompre, car Dieu nous a don­né « la puis­sance qui nous fait sup­port­er l’insupportable et débor­der de joie » (Col 1.11, The Mes­sage). 3) Sa pro­fondeur excède tou­jours sa hau­teur ! Tan­dis que les racines de la plu­part des plantes ne s’enfoncent que de quelques pieds dans le sol, celles du palmi­er peu­vent descen­dre plusieurs cen­taines de mètres à la recherche de l’eau. David a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ain­si mon âme soupire après toi » (Ps 42.2). Allez en pro­fondeur, tra­vaillez votre rela­tion avec Dieu, et vous ne serez jamais dérac­iné, défait ou emporté par le vent !