"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Se sen­tir blessé est inévitable ; le rester est un choix. Vous pou­vez choisir de demeur­er une vic­time en vous lamen­tant sans cesse sur le passé, ou bien vous servir de cette expéri­ence pour gag­n­er en force et sagesse. Le paralysé que Jésus a ren­con­tré à la piscine de Bethes­da était couché sur son lit depuis trente-huit ans. Quand Jésus l’a appris, il a demandé : « Veux-tu retrou­ver la san­té ? » Après tout ce temps, cet homme con­sid­érait sans doute son hand­i­cap comme une part de lui-même. Sa con­di­tion durait depuis si longtemps qu’il pen­sait en vic­time : « Je n’ai per­son­ne pour me jeter dans la piscine » (Jn 5.7). En clair : « Per­son­ne ne m’aide ». Mais Jésus l’a fait en lui ordon­nant de se lever et de marcher. Imag­inez la foi qu’il a fal­lu à cet homme pour sur­mon­ter ce vieux et tenace sen­ti­ment d’im­puis­sance, mais dès qu’il a obéi à Jésus, il a été guéri sur le champ. Dieu ne vous force à rien, même si vous souf­frez. Vous devez vouloir retrou­ver la san­té, et décider que c’est pos­si­ble par la grâce de Dieu. Regar­dons les choses en face, l’Église est com­posée d’êtres impar­faits qui par­lent par­fois sans réfléchir et peu­vent bless­er. Mais ce n’est pas une rai­son pour quit­ter l’Église ! « Vous avez été appelés pour for­mer un seul corps » (Col 3.15). En dehors, vous n’avez ni rôle ni nour­ri­t­ure ni exauce­ment, et c’est la mort spir­ituelle. Il faut d’ailleurs autant d’én­ergie pour choisir l’im­puis­sance que pour choisir la guéri­son, mais les résul­tats sont très dif­férents. Dans un cas, les événe­ments vous paral­y­sent, dans l’autre vous prenez espoir pour l’avenir. Qu’allez-vous choisir ?

"Merci pour vos messages journaliers : ils réjouissent mon cœur et me font peu à peu grandir dans la foi. Ils me poussent à lire la Parole de Dieu malgré les difficultés de la vie." Jeannine Je fais un don