Job con­clut sa pro­fes­sion de foi par ces mots : « Après que ma peau aura été détru­ite ; moi-même en per­son­ne, je con­tem­plerai Dieu ». Au retour de Christ, notre corps qui repose au tombeau sera rem­placé par un corps glo­rieux sem­blable au corps de Christ ressus­cité. C’est alors que la promesse de Dieu s’accomplira : « Tes morts revivront […]. Ceux qui sont couchés dans la pous­sière se réveilleront et crieront de joie » (Esa 26.19, PDV). Par­mi toutes les reli­gions, le chris­tian­isme est la seule qui annonce la résur­rec­tion cor­porelle, parce que seul Christ, notre maître, a pu promet­tre cette résur­rec­tion et tenir sa promesse. Réjouis­sez-vous, car votre arrivée dans la tombe ne sera pas votre fin. Paul a écrit : « Je vais vous révéler un secret : nous ne mour­rons pas tous, mais nous serons tous trans­for­més en un instant, en un clin d’œil, au son de la dernière trompette. Car lorsqu’elle son­nera, les morts ressus­citeront pour ne plus mourir, et nous serons tous trans­for­més. En effet, ce qui est périss­able doit se revêtir de ce qui est impériss­able ; ce qui meurt doit se revêtir de ce qui est immor­tel. […] Alors se réalis­era cette parole de l’Écri­t­ure : « La mort est sup­primée ; la vic­toire est com­plète ! » (1Co 15.51–54, BFC). Ce jour-là, la vue rem­plac­era la foi. Un pas­sant a demandé à un enfant, dont le cerf-volant était mon­té si haut qu’il n’était plus vis­i­ble à l’œil nu : « Com­ment sais-tu qu’il est encore là ? » L’enfant, ten­ant la corde ser­rée dans sa main, a répon­du : « Je le sens qui tire sur la corde ! » Sen­tez-vous que quelque chose vous tire vers le ciel ?