Lui­gi Tari­sio, un ital­ien col­lec­tion­neur de vio­lons, était très fier de dénich­er des pièces rares et d’a­cheter unique­ment les meilleurs instru­ments. Per­son­ne ne con­nais­sait vrai­ment sa pas­sion. À sa mort, on a décou­vert 246 vio­lons rares dans son gre­nier ! L’un des plus chers, caché dans le tiroir d’une vieille com­mode, était un Stradi­var­ius qu’il avait lui-même acheté à un autre col­lec­tion­neur. Le Dr W. Y. Fuller­ton, prédi­ca­teur bap­tiste renom­mé, affirme qu’en ayant gardé cet instru­ment pour lui, Tari­sio avait privé le monde d’une musique excep­tion­nelle. Et d’autres avant lui avaient fait de même. Finale­ment, 147 ans se sont écoulés avant que l’on entende à nou­veau le mer­veilleux son de ce Stradi­var­ius unique. Un psy­cho­logue dit : « Ne mourez pas sans avoir joué votre musique. N’attendez pas la fin de votre vie pour vous deman­der si elle a été bonne ou mau­vaise. » Dieu vous a accordé des dons et il veut que vous les util­isiez. Si vous atten­dez d’être par­fait, vous ne fer­ez jamais rien. Jésus a dit : « C’est vous qui êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade avec quoi le salera-t-on ? Il n’est plus bon qu’à être jeté dehors et foulé aux pieds par les hommes. C’est vous qui êtes la lumière du monde. Une ville située sur une mon­tagne ne peut être cachée » (Mt 5.13–14). Com­prenez ceci : Dieu vous tien­dra pour respon­s­able de la décou­verte de vos tal­ents. Il vous deman­dera de les dévelop­per au max­i­mum et de les utilis­er pour le glo­ri­fi­er et bénir les autres.