Il est tou­jours agréable d’être apprécié(e) pour son tra­vail. Sinon, on peut per­dre l’estime de soi. C’est pourquoi, la Bible dit : « Comme les yeux de la ser­vante vers la main de sa maîtresse, ain­si nos yeux se tour­nent vers l’Éter­nel, notre Dieu ». Votre vraie valeur vient de Dieu, pas de votre patron. Si vous l’oubliez, vous vous sen­tez frustré(e) sur votre lieu de tra­vail. Vous serez sans doute moins effi­cace car vous serez enclin à ne pren­dre ni déci­sions ni risques au cas où ils auraient une influ­ence néga­tive sur ce que les autres pensent de vous. En fait vous devenez un béni-oui-oui qui acqui­esce et est d’accord avec tout le monde juste pour plaire et être approuvé(e). Par con­séquent, votre valeur dans l’entreprise chute parce que vous n’utilisez pas au max­i­mum les dons que Dieu vous a accordés. Quel que soit votre poste, il ne représente qu’une infime par­tie de qui vous êtes, un ray­on issu du cen­tre de votre iden­tité de fils ou de fille du roi des rois. Vous n’êtes pas le pignon qui actionne la roue. Savoir qui vous êtes, en-dehors de ce que vous faites, est tout aus­si essen­tiel pour votre suc­cès dans le monde du tra­vail que vos diplômes et vos com­pé­tences. Ceux qui savent que vous cherchez con­stam­ment l’approbation, sont enclins à vous manip­uler, vous cern­er et influ­encer votre pro­pre valeur. C’est leur accorder trop de pou­voir ! Quel que soit votre emploi, chargé(e) de l’entretien des locaux ou respon­s­able d’un grand pro­jet : « Quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu » (1Co 10.31).