On dit que « la beauté réside dans l’œil du spec­ta­teur », mais vous pou­vez pass­er votre vie à chercher à plaire au mau­vais spec­ta­teur. Une femme de let­tres chré­ti­enne écrit : « Quand il est ques­tion de beauté, l’enfance laisse des traces. J’ai rem­pli mon armoire de vête­ments de toutes les tailles. J’ai abusé du maquil­lage alors qu’une crème solaire aurait suf­fi pour aller jouer dehors. J’ai frisé l’anorexie à vouloir rester mince. J’ai per­du mon temps à m’inquiéter de n’être pas assez belle quand j’aurais pu appréci­er mes vraies pas­sions. La déf­i­ni­tion de la beauté a évolué à tra­vers l’histoire pour refléter la société. Par­fois ronde, par­fois mince ; un temps bronzée, un temps blême ; cheveux longs ou cheveux courts. On con­sacre nos forces à suiv­re les dernières ten­dances, et devinez quoi ? Il y a tou­jours du nou­veau. C’est une course sans fin. Sérieuse­ment, qui cher­chons-nous à séduire ? Dieu est le seul qui le mérite ». Paul dit : « Ne suiv­ez pas les cou­tumes du monde où nous vivons, mais lais­sez Dieu vous trans­former » (Ro 12.2, PDV) ; « Dès que quelqu’un est uni au Christ, […] ce qui est ancien a dis­paru, ce qui est nou­veau est là » (2Co 5.17, BFC). Vous ne trou­verez pas le secret de la beauté intérieure et de la paix en vous com­para­nt aux mod­èles des mag­a­zines. Ce type d’image n’est pas viable. Vous trou­verez la paix en deman­dant à Dieu de vous ouvrir les yeux et de vous mon­tr­er à quoi vous ressem­blez aux siens. « Ceux qui regar­dent vers lui bril­lent de joie ». La seule vraie déf­i­ni­tion de la beauté vient de Dieu car il « regarde au cœur » (1S 16.7).