Avec de la pra­tique, vous pou­vez appren­dre à bien penser. 1) Les gens qui pensent bien sont prévoy­ants. « Les pen­sées de l’homme act­if vont bien vers l’abon­dance » (Pr 21.5). Être « act­if » sig­ni­fie « tra­vailler, étudi­er, prévoir ». Le suc­cès n’est pas une chose qui vous tombe dessus par hasard et que vous com­prenez après coup. Que vous soyez en affaires ou dans le min­istère, votre réus­site devien­dra spec­tac­u­laire si vous accordez une grande valeur à la bonne pen­sée. Vic­tor Hugo a écrit : « Un homme étroit est fait de pen­sées étroites. » Les gens qui réfléchissent mal sont sou­vent à la mer­ci des cir­con­stances, ou de la pen­sée des autres. Inca­pables de résoudre les prob­lèmes, ils se heur­tent tou­jours aux mêmes obsta­cles. Et comme ils n’an­ticipent pas, ils sont sou­vent en mode réac­tion. Un vieux proverbe alle­mand dit : « Mieux vaut une bourse vide qu’une tête vide. » Les gens qui pensent bien s’en sor­tent, même s’ils man­quent de moyens, là où les pau­vres penseurs sont trib­u­taires de ceux qui réfléchissent. James Allen dit : « Tout ce qu’un homme accom­plit ou manque d’ac­com­plir est le résul­tat direct de ses pen­sées. » Le croyez-vous ? Si oui, vous allez priv­ilégi­er la bonne pen­sée et en faire une pri­or­ité de votre vie. 2) Les gens qui pensent bien recherchent le meilleur, non le pire. Ils vivent selon le principe de ce ver­set : « Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est hon­or­able, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’ap­pro­ba­tion, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’ob­jet de vos pen­sées » (Ph 4.8).