Après avoir résolu la ques­tion du par­don et de la foi, vous devez relever deux autres défis pour sor­tir de l’im­passe. En pre­mier lieu, vous devez appren­dre la sou­p­lesse. Lorsque votre foi ren­con­tre un obsta­cle, c’est votre capac­ité d’adaptation qui vous gardera dans la course. Vous devez appren­dre à encaiss­er les coups et pli­er sans cass­er. Ne soyez pas inflex­i­ble ! Si néces­saire, soyez prêt à chang­er de méth­ode en cours de route. La sou­p­lesse n’a rien à voir avec l’indécision ou la mol­lesse. La sou­p­lesse, c’est d’abord la volon­té de s’adapter aux défis pour garder le cap, faire con­fi­ance à la sagesse de Dieu, adapter sa réponse aux change­ments. C’est aus­si la volon­té d’agir. Avoir un esprit posi­tif n’est pas suff­isant, il faut agir. Rap­pelez-vous, les petits ruis­seaux font les grandes riv­ières. Faire des petits pas de foi suf­fit pour avancer. En sec­ond lieu, il vous faut la fer­meté. Refusez d’a­ban­don­ner. Vous serez par­fois face à des dif­fi­cultés telles que vous n’au­rez d’autre choix que de tenir comme les Israélites pris entre la Mer Rouge et l’armée égyp­ti­enne. Au moment le plus cri­tique, ils ont reçu ces cinq con­seils : 1) N’ayez pas peur. Que la peur ne com­mande pas votre réponse. 2) Restez ferme. Cessez d’être le jou­et de vos émo­tions. 3) Taisez-vous. Ne vous entraînez pas mutuelle­ment dans la défaite. 4) Regardez devant vous la solu­tion de Dieu. Atten­dez-vous à son inter­ven­tion pour vous sor­tir de l’im­passe. 5) Soyez prêt à avancer lorsqu’il ouvri­ra la voie. Lorsque vous ne savez pas quoi faire, adoptez ces atti­tudes sim­ples et effi­caces dans les sit­u­a­tions dif­fi­ciles. Et si vous échouez, recon­nais­sez votre échec, prenez-le pour une leçon qui vous apprend ce qu’il fau­dra désor­mais éviter.