"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Le statut social de Jaïrus s’apparente à celui de maire ou d’évêque. Mais si la sit­u­a­tion de votre enfant est cri­tique, votre renom­mée ne vous sert à rien. Jaïrus n’est  pas le seul par­ent dans le mal­heur à se pré­cip­iter vers Jésus. Une femme des collines de Canaan arrive en trombe et crie : « Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David. Ma fille est cru­elle­ment tour­men­tée par le démon » (Mt 15.22). Le père d’un garçon pos­sédé vient lui aus­si chercher de l’aide auprès des dis­ci­ples. Quand ceux-ci se mon­trent inca­pables de lui porter sec­ours, il se tourne vers Jésus. En larmes, il s’écrie : « Je crois ! Viens au sec­ours de mon incré­dulité ! » (Mr 9.24). Jésus répond à  chaque sit­u­a­tion. Il ne se détourne de per­son­ne. Et il ne veut pas non plus se détourn­er de vous. Après tout, vos enfants sont d’abord les siens. Le Psalmiste dit : « Voici que des fils sont un héritage de l’Éternel, le fruit des entrailles est une récom­pense » (Ps 127.3). Avec le salut, vos enfants sont les plus beaux cadeaux que Dieu vous fait. Et même s’ils vous appar­ti­en­nent, ils sont encore à lui. Il les pro­tège et pour­voit à leurs besoins. Peut-être ont-ils, comme le fils prodigue, enfreint toutes les lois divines et brisé votre cœur. Mais pour Dieu, vos prières sont une invi­ta­tion à entr­er dans leur vie. L’amour du père qui a fait revenir chez lui le fils prodigue ramèn­era aus­si votre enfant rebelle. Jésus vous dit aujourd’hui ce qu’il a dit à Jaïrus : « Sois sans crainte, crois seule­ment et elle sera sauvée » (Lu 8.50).

"Merci pour la médiation Parole du Jour. Même après 54 ans de conversion, j'en ai besoin et j'en fais profiter à une vingtaine de personnes autour de moi." Rosemée Je fais un don