"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

On s’attire des ennuis si on refuse de pren­dre Dieu au sérieux. L’ange qui annonce la nais­sance de Sam­son dit qu’il « sera naziréen », des­tiné à faire la volon­té de Dieu. Mais Sam­son va nég­liger sa vie spir­ituelle. Il ne prie qu’en cas de prob­lème. Il est impul­sif et n’en fait qu’à sa tête. Que de prob­lèmes évités et de souf­france épargnée si seule­ment on s’arrêtait pour deman­der à Dieu de nous diriger ! Sam­son ne se tourne vers Dieu que lorsqu’il est dans une impasse. C’est un bien curieux chris­tian­isme que celui qui se con­tente de prières telles que : « Seigneur, si tu me sors de ces ennuis, je promets que je vivrai pour toi à par­tir de main­tenant. » Ques­tion : Dieu n’est-il qu’un recours sec­ondaire, un con­fort per­son­nel, une sorte de mutuelle com­plé­men­taire ? Quand tout va mal, on se tourne vers lui en dés­espoir de cause, mais quand tout va bien, on s’empresse de l’ignorer ? Ce n’est que lorsque Sam­son a été cap­turé par les Philistins, et que, ren­du aveu­gle et attaché comme un bœuf, il broy­ait du grain dans un moulin, qu’il s’est tourné vers Dieu et a prié. Quel sorte de des­tin Sam­son aurait-il pu avoir s’il avait prié comme il faut dès le départ ? Pourquoi a‑t-il atten­du que tout soit per­du pour se tourn­er vers Dieu ? On ne devrait pas vivre ce genre de désagré­ments ! Le psalmiste a dit : « Heureux quiconque craint l’Éter­nel et marche dans ses voies ! Tu jouis alors du tra­vail de tes mains, tu es heureux, tu prospères » (Ps 128.1–2).

"Les exhortations de Parole du Jour ont contribué à réellement changer ma vie. Je vous lis et vous écoute en sachant qu'une bénédiction va m'accompagner. Merci infiniment." Albéric Je fais un don