Lorsque Dieu appelle Moïse, une des pre­mières ques­tions qu’il lui pose est : « Qu’y a‑t-il dans ta main ? » Moïse tenait son bâton de berg­er, celui qui lui ser­vait chaque jour à con­duire et garder ses mou­tons. Mais Dieu avait pour lui un plan bien plus grand ! Il l’a util­isé pour ouvrir la Mer rouge et men­er Israël en Terre promise. Quand Dieu vous demande : « Qu’y a‑t-il dans ta main ? », il veut que vous pen­siez à tout, tal­ents, expéri­ences, rela­tions, édu­ca­tion, ressources, état d’esprit et per­son­nal­ité. Mar­tin Selig­man par­le de nos « forces sig­na­tures ». Elles s’inscrivent dans six caté­gories. 1) La sagesse et la con­nais­sance. On y trou­ve la curiosité, le goût des études, le bon sens et l’intelligence sociale. 2) Le courage. Elle com­prend la per­sévérance et l’intégrité. 3) L’humanité. C’est la capac­ité d’être bon et com­patis­sant. 4) La jus­tice. C’est diriger de façon impar­tiale. 5) La tem­pérance. C’est le con­trôle de soi, la pru­dence et l’humilité. 6) La tran­scen­dance. C’est appréci­er le beau, savoir remerci­er, espér­er et se réjouir. Par­mi toutes ces forces pos­si­bles, celles qui réson­nent le plus pro­fondé­ment en vous sont vos « forces sig­na­tures ». Iden­ti­fiez-les et vous con­naitrez votre appel. Mais soyez prudent(e), l’Ennemi veut vous con­va­in­cre que Dieu ne peut pas vous utilis­er à cause de vos faib­less­es, alors qu’en réal­ité c’est l’inverse. Qui mieux que les gens qui ont souf­fert peu­vent con­sol­er ceux qui sont dans la peine ? Chuck Col­son a tra­vail­lé à la Mai­son Blanche jusqu’au scan­dale du Water­gate. Mais c’est en tant que détenu qu’il a com­mencé son min­istère. À vous donc de con­naître votre appel.