Faites confiance à la bonté de Dieu

La Bible dit : « Le peu­ple vit que Moïse tar­dait à descen­dre de la mon­tagne ; alors le peu­ple s’assem­bla autour d’Aaron et lui dit : Lève-toi, fais-nous des dieux qui marchent devant nous » (Ex 32.1). Pourquoi un veau d’or ? Pour avoir un Dieu vis­i­ble. Dif­fi­cile de s’i­den­ti­fi­er à un Dieu invis­i­ble, et Moïse, son représen­tant, était resté si longtemps sur le Mont Sinaï qu’ils se sen­taient impuis­sants et découragés. Ils ont donc fait ce que nous faisons tous lorsque nous avons peur : retrou­ver le con­fort de nos habi­tudes. Mark Roberts écrit : « Com­bi­en de fois n’avons-nous pas été dans la même sit­u­a­tion ? On entend l’ap­pel de Dieu, et rem­plis de foi, on se lance avec audace. Mais lorsqu’on ne sent plus sa présence et que les prières sem­blent tomber à plat, on se sent aban­don­nés, ter­ror­isés et impuis­sants. On se rac­croche alors aux vieilles habi­tudes. » La Bible dit : « L’Éter­nel est bon, […] il prend soin de ceux qui se réfugient auprès de lui » (Na 1.7). Nan­cy Ort­berg dit : « Sou­vent le plus dif­fi­cile pour chang­er est d’aller là où Dieu se trou­ve. Tout ce que je peux vous dire, c’est que pour chang­er, il faut que j’y aille. La plu­part pes­tent et hurlent au lieu de s’y ren­dre avec l’as­sur­ance que non seule­ment Dieu est là-bas, mais aus­si de nou­velles facettes de lui que nous n’avons jusqu’i­ci jamais con­nues. Que ce soit la mort d’un proche, un emploi per­du, une muta­tion, si nous pas­sons out­re ces dif­fi­cultés, nous ver­rons que Dieu est là, et que sa bon­té est totale, mer­veilleuse et extra­or­di­naire. » Lorsque Dieu ferme une porte, il en ouvre une autre, mais vous devez être prêt(e) à la franchir.