"Toutes les nuits j'attends votre e-mail à 1h du matin pour écouter la méditation de Bob Gass et je la partage sur les réseaux sociaux. Ces méditations en fortifient beaucoup et je remercie Dieu !" Philippe Je fais un don

Un auteur a écrit : « Si vous n’arrivez pas à par­don­ner, en voici peut-être les caus­es : 1) La colère empêche des émo­tions plus puis­santes de s’exprimer, et quand cette colère cesse, vous craignez que la vague de ces émo­tions vous sub­merge. 2) L’amertume vous saisit entière­ment, et vous ne savez pas ce que vous seriez sans elle. 3) Vous avez telle­ment ressas­sé les cir­con­stances de cette offense qu’elles sont gravées en vous. 4) L’idée de chang­er vous affole, alors que la colère est famil­ière. 5) L’offenseur n’a rien fait pour mérit­er le par­don. 6) Nour­rir votre ressen­ti­ment vous pro­tège d’autres offens­es, car per­son­ne ne peut vous abor­der ». Jésus a dit : « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et ne remar­ques-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » (Mt 7.3). L’au­teur cité plus haut a rajouté : « J’ai telle­ment heurté la poutre de mon œil con­tre des murs que je suis devenu aveu­gle ! » Mais voici quelques raisons d’abandonner votre amer­tume. D’abord, renon­cez aux blessures passées afin de saisir votre présent et votre avenir. Puis, en ne nour­ris­sant plus votre amer­tume, vous nour­rirez des idées nou­velles. Lorsque les chaînes de l’offense sont brisées, votre offenseur n’a plus de pou­voir sur vous. L’amertume vous fait croire que vous con­trôlez la sit­u­a­tion, mais c’est elle qui vous con­trôle. Dès que vous n’êtes plus sur la défen­sive, vous com­mencez à guérir, à aimer et être aimé. L’amertume crée un con­tente­ment pro­vi­soire, alors que la délivrance crée un sen­ti­ment de sat­is­fac­tion durable. Dieu nous demande d’aimer, car cet état a trop duré. Goûtez main­tenant à la lib­erté qu’ap­porte le pardon !