1) Éval­uez votre degré d’obéissance. « Obéis­sez à ceux qui vous diri­gent et soyez-leur soumis : ils veil­lent sur vous, sachant qu’ils auront des comptes à ren­dre. Qu’ils puis­sent le faire, non pas en soupi­rant, ce qui ne serait pas à votre avan­tage, mais avec joie » (Hé 13.17). Obéis­sez-vous à Dieu dans les choses qu’il vous demande ? Vous soumet­tez-vous à la direc­tion de ceux qu’il a placés au-dessus de vous ? Priez-vous pour eux et remer­ciez-vous Dieu pour ce qu’ils vous appor­tent ? 2) Mesurez la pureté de votre cœur. « Si nous dis­ons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous con­fes­sons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous par­don­ner nos péchés et nous puri­fi­er de toute injus­tice » (1Jn 1.8–9). Con­fessez-vous vos péchés en les nom­mant ? Lorsque Dieu vous révèle votre péché, vous engagez-vous à l’abandonner de suite ? Y a‑t-il des domaines où vous ne l’avez pas encore fait ? Êtes-vous prêt à laiss­er tous vos péchés pour Dieu ? 3) Son­dez la pureté de votre con­science. « Je m’ex­erce à avoir con­stam­ment une con­science irréprochable devant Dieu et devant les hommes » (Ac 24.16). Par­don­nez-vous les offens­es ? Avez-vous une con­science pure devant Dieu ? 4) Jaugez votre assur­ance devant Dieu. « Si notre cœur ne nous con­damne pas, nous avons de l’as­sur­ance devant Dieu. Quoi que nous deman­dions, nous le recevons de lui, parce que nous gar­dons ses com­man­de­ments et que nous faisons ce qui lui est agréable » (1Jn 3.21–22). Avez-vous vrai­ment cher­ché ce qui pou­vait nuire à votre assur­ance devant Dieu ?