Les alarmes incendie se déclenchent grâce à un sys­tème de ray­on lumineux. Tant que le récep­teur pho­to­sen­si­ble reçoit la lumière en con­tinu, le détecteur est silen­cieux. Mais si la fumée, la pous­sière ou un insecte vien­nent couper le fais­ceau lumineux ne serait-ce qu’une frac­tion de sec­onde, l’alarme reten­tit. Votre con­science agit selon le même principe. Quand le péché coupe votre rela­tion avec Dieu, votre con­science vous aver­tit qu’il y a un prob­lème. Il faut être fou pour couper l’alarme ou l’ignorer quand elle reten­tit. Si cer­taines choses ne sont pas mau­vais­es en soi, elles peu­vent l’être pour vous parce qu’elles ne col­lent pas avec l’avenir que Dieu a pour vous. Autrement dit, il y a des choses que d’autres peu­vent faire, mais pas vous. Réjouis­sez-vous de savoir que Dieu a prévu pour vous de grandes choses. Un vieil adage dit : « Une bonne con­science est un doux oreiller ». Écouter votre con­science vous empêchera de pren­dre le mau­vais chemin. Et si, mal­gré tout, vous l’empruntez, votre con­science ne vous lais­sera pas tran­quille. Pour pren­dre la bonne déci­sion, deman­dez-vous tou­jours quel impact aura votre déci­sion sur votre assur­ance devant Dieu. La Bible dit : « Si notre cœur ne nous con­damne pas, nous avons de l’as­sur­ance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous deman­dions, nous le recevons de lui, parce que nous gar­dons ses com­man­de­ments et que nous faisons ce qui lui est agréable » (1Jn 3.21–22).