Le « Notre Père » définit toutes vos rela­tions. 1) Votre rela­tion au monde. Parce que Dieu est votre Père, vous êtes un héri­ti­er des béné­dic­tions accordées à son univers, et non un étranger (voir Ps 24.1). Mais méfiez-vous des valeurs du monde : « N’aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui » (1Jn 2.15). Rien ne doit pren­dre la place de Dieu ! 2) Votre rela­tion aux autres. Tous les gens autour de vous ont été créés par votre Père. Il con­vient donc de les accepter, de les aimer et de les val­oris­er. Nous nous devons d’aimer notre prochain sans tenir compte de ses orig­ines ou de ses croy­ances. Ne faisons pas de l’autre notre adver­saire, ne cher­chons pas à le domin­er ou à le manip­uler. 3) Votre rela­tion à vous-même. Dieu dit : « Je suis votre Père ». Quel fab­uleux socle pour bâtir l’estime de soi ! Qu’importe ce qui, dans le passé, vous a fait vous sen­tir incom­pé­tent ou inférieur. Vous pou­vez relever la tête. Vous n’êtes pas insignifi­ant aux yeux de Dieu qui vous appelle son enfant. 4) Votre rela­tion à Dieu. En Jésus, le Père nous accorde « sa grâce dont il nous a comblés dans le bien-aimé » (Ep 1.6). Il vous accepte comme il a accep­té Jésus ! « Cer­tains l’ont reçu et ont cru en lui ; il leur a don­né le droit de devenir enfants de Dieu » (Jn 1.16). Ne craignez plus de venir à lui. Marchez droit à sa ren­con­tre et sai­sis­sez ce qu’il veut vous offrir. Acceptez sa grâce et son aide. Il n’y a rien de meilleur !