Nous lisons : « [Jésus] vit deux frères, Simon appelé Pierre, et André, son frère, qui jetaient un filet dans la mer ; en effet ils étaient pêcheurs. Il leur dit : Suiv­ez-moi, et je vous ferai pêcheurs d’hommes » (Mt 4.18–19). Pour suiv­re Christ, vous devez devenir pêcheur d’hommes ! Max Luca­do se sou­vient d’une sor­tie de pêche : « Le pre­mier jour, le ciel était gris et le lac agité. Pas moyen d’aller pêch­er. Le jour suiv­ant, tout était gelé ! Nous avons essayé de rester posi­tifs, mais j’ai com­mencé à remar­quer les défauts de Mark et la sus­cep­ti­bil­ité de papa. Restez enfer­mé avec quelqu’un et vous décou­vrirez sa vraie nature ! Quand la neige s’est invitée le jour d’après, on n’était plus d’humeur. Mark était insup­port­able, papa fai­sait tout de tra­vers. Lorsqu’il a annon­cé qu’on ren­trait à la mai­son, per­son­ne n’a bronché […]. L’énergie que nous devions dépenser à pêch­er, nous l’avions dépen­sée à juger l’autre. Sou­vent, au lieu de don­ner un coup de main, nous pointons un doigt accusa­teur. Au lieu de sec­ourir ceux qui sont blessés, nous blessons ceux qui ont besoin d’être sec­ou­rus. Résul­tat ? Des Églis­es divisées, de mau­vais témoignages, des cœurs brisés, des dis­putes sans intérêt. Mais lorsque ceux qui sont appelés à devenir des pêcheurs d’hommes le devi­en­nent, ils pren­nent leur envol. Rien n’unit davan­tage des sol­dats qu’un but com­mun. Lais­sez-les sans occu­pa­tion et ils trou­veront à se plain­dre : des mate­las trop durs, des repas trop froids, des officiers trop stricts. La prochaine fois que vous êtes ten­té de rester à l’intérieur au lieu de relever les défis extérieurs, sortez ! »