Pour vous libér­er de l’amer­tume, vous devez : 1) choisir de par­don­ner. « Par­don­nez-vous les uns aux autres, comme Dieu vous a par­don­né dans le Christ » (Ep 4.32, PDV). Que votre agresseur s’ex­cuse ou non, qu’il soit vivant ou mort, ou qu’il con­tin­ue à vous bless­er, votre unique option est le par­don. En par­don­nant, vous vous libérez d’un poids. 2) ne plus faire de procès d’in­ten­tion à celui qui vous a blessé. En mod­i­fi­ant vos attentes, vous retrou­vez votre sérénité. Que l’autre change ou non, c’est son affaire, allez de l’a­vant ! Si vous exigez telle réac­tion, vous restez dans le doute. Paul dit : « Le Christ nous a libérés […], ne vous lais­sez pas de nou­veau réduire en esclavage » (Ga 5.1, BFC). 3) reporter sur Dieu toutes vos attentes. Sa Parole dit : « Dieu pour­voira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Christ-Jésus » (Ph 4.19). Notez le mot « tous ». Dieu pour­voit les per­son­nes, les ressources et les oppor­tu­nités dont vous avez besoin pour une vie heureuse. 4) deman­der à Dieu de bénir celui qui vous a offen­sé. Oui, c’est dif­fi­cile, mais Jésus a dit : « Aimez vos enne­mis et priez pour ceux qui vous per­sé­cu­tent » (Mt 5.44, BFC). Une telle prière vous place au volant de votre exis­tence. 5) faire du bien à ceux qui vous ont offen­sé. Deman­dez à Dieu de quelle façon les bénir. « Si ton enne­mi a faim, donne-lui à manger, s’il a soif, donne-lui à boire. […] sois vain­queur du mal par le bien » (Ro 12.20–21, PDV). En croy­ant et en agis­sant selon la Parole de Dieu, vous vain­crez la colère et l’amertume.