Peu importe les difficultés, souvenez-vous qu’elles passent toujours. La vie ne reste pas figée. Il y aura toujours des épreuves. Ne les laissez pas détruire votre confiance. Considérez-les plutôt comme une occasion de grandir. Le jour où vous aurez suffisamment grandi là où Dieu pense que vous avez besoin de plus de maturité, vous pourrez passer à autre chose. Rien n’est définitif. Même si c’est difficile de le croire sur le moment, « tu ne garderas pas plus de souvenirs de tes malheurs présents que de l’eau écoulée ». Un auteur écrit : « L’oubli n’est pas l’amnésie. C’est atteindre un point où le malheur est retiré de la mémoire comme le poison l’est d’une morsure de serpent. Une fois retiré, la guérison est certaine. Les souvenirs deviendront comme “de l’eau écoulée”. L’eau qui coule ne revient pas ». Kristin Armstrong raconte : « Dans l’Ancien Testament, lors d’un décès, ceux qui étaient dans le deuil se couvraient le visage de cendres. Ils restaient ainsi pendant quelque temps, puis se nettoyaient et allaient de l’avant. N’est-ce pas plus sain que dans notre société ? On se maquille, on prend un air joyeux ou impassible, et on ne veut pas que les gens aient de la compassion et nous percent à jour. On passe son temps à se cacher, mais à l’intérieur on croule sous les cendres. Dieu nous appellera à nous lever et briller quand notre lumière paraît (Esa 60.1). Demandez-lui de vous prévenir et soyez prêt à vous laver le visage ». Puis passez à autre chose.