Un homme d’expérience a dit : « Au début, vous avancez à qua­tre pattes, puis vous apprenez à marcher et le monde s’agrandit. Plus tard, vous décou­vrez le vélo, la voiture, un jour vous achetez un bil­let d’avion. L’horizon sem­ble sans lim­ites. Soudain les doutes sur­gis­sent : “Je ne peux pas”, et votre monde com­mence à rétré­cir. “Je ne devrais pas faire ce voy­age… je serai per­du… j’ai trop de respon­s­abil­ités.” Votre monde con­tin­ue à rétré­cir jusqu’au jour où vous vous retrou­vez coincé dans une cage. Plus d’expériences, plus de leçons, plus de vie. Une cage peut être con­fort­able… mais vous avez beau l’aménager, ça reste une cage. Quand nous lais­sons nos peurs nous paral­yser, il est cer­tain que nous nous enfer­mons dans une cage, et tôt ou tard, nous nous sen­tons à l’étroit. Quand vous dites : “Je ne peux pas”, ten­tez d’ouvrir la cage. Défiez l’impossible, portez-vous can­di­dat pour le tra­vail de vos rêves, pour­suiv­ez votre vision. Écartez les bar­reaux de la cage, passez votre tête à tra­vers et regardez autour de vous. Utilisez vos peurs comme des leviers. Sortez de la cage du doute et de l’insécurité pour trou­ver la lib­erté que don­nent le courage et la foi ». La peur peut con­duire l’imagination à divaguer. Mais « ce n’est pas un esprit de timid­ité que Dieu nous a don­né, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse » (2Ti 1.7). Un esprit fort restau­re votre per­spec­tive et vous aide à penser, comme Dieu, que tout est pos­si­ble. Dieu veut vous don­ner le courage de sor­tir de la cage et de vous libér­er car il vous aime.