En hébreu, paix se dit « shalom ». Et sauf si elle vient de Dieu, elle restera toujours une utopie, un rêve philosophique, une proie alléchante qui ne s’attrape jamais. Les mariages se disloquent parce que nous cherchons un conjoint imparfait pour nous donner la paix parfaite désirée, et nous découvrons qu’il ou elle en est incapable. Lors d’une soirée, une femme fait de son mieux pour avoir l’air heureuse. Remarquant l’énorme diamant qui scintille à son doigt, une invitée s’exclame : « Ouah ! Quelle belle pierre ! » Elle répond : « Merci, c’est le diamant de Callahan. » La curieuse reprend : « J’aimerais tant en avoir un ! » La femme rétorque : « Oh, vous ne devriez pas. » L’autre demande : « Pourquoi ? » la réponse fuse : « Il contient la malédiction de Callahan ». L’invitée s’étonne : « Ah bon, c’est qui ce Callahan ? » La femme soupire et dit : « Mon mari ! » La paix n’est parfaite que si le donneur est parfait, et Dieu est le seul qualifié. La paix n’est pas l’absence de problèmes mais la présence de Dieu au milieu des vôtres. De plus, personne ne trouve jamais la paix en la cherchant. La paix ne se trouve pas, elle vous trouve quand vous confiez votre vie à celui qui a dit : « Je marcherai moi-même avec toi et je te donnerai du repos ». Seule la présence de Dieu peut vous apporter la paix. L’assurance de son amour, son aide, et sa présence vous délivrent du stress. La paix vous manque-t-elle aujourd’hui ? Confiez votre vie à Christ, et vous connaîtrez « la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence » (Ph 4.7).