Au fil du temps, les missionnaires chrétiens ont accompli des choses incomparables. Il y a plus d’un siècle, un écrivain, de retour d’un voyage autour du monde, découvre que les missions et les missionnaires sont sous le feu des critiques dans les journaux londoniens. Il adresse donc une lettre à ces quotidiens pour prendre la défense des missions. Il dit dans cette lettre que la transformation des sauvages dans les îles des mers du Sud est un spectacle valant la peine d’être vu et que le mépriser est un crime abominable : « C’est une profonde ingratitude chez le voyageur que d’oublier tout cela ; car s’il était sur le point de faire naufrage sur quelque côte inconnue, il doit vivement désirer que les enseignements des missionnaires aient pénétré jusque là. » L’auteur de cette lettre n’est autre que Charles Darwin. De retour de son périple, il avait changé. Considérez les Papous de Nouvelle Guinée. Des missionnaires hollandais sont allés à leur rencontre. En 1860, le premier fruit de leur oeuvre missionnaire s’appelle Nathaniel Pepper, un autochtone qui accepte Christ. Quelques années et des milliers de conversions plus tard, l’école papoue se classe première des compétitions académiques sur les 1 200 écoles coloniales de Nouvelle Hollande. Quel exploit ! Les athées aussi ont pu construire des léproseries, des hôpitaux et des orphelinats. Mais en réalité, ce sont les disciples de Jésus- Christ qui ont eu le plus grand impact dans ce monde.