Rien n’est grand sans avoir vain­cu quelque chose. Paul écrit : « Une porte s’est ouverte toute grande à mon activ­ité, et les adver­saires sont nom­breux » (1Co 16.9). De grandes occa­sions appor­tent de grands défis qui vont aug­menter votre foi. Si un exploit était facile, tout le monde le ferait. Mais si tout le monde le fai­sait, ce ne serait plus un exploit. Com­ment la che­nille devient-elle papil­lon ? En sor­tant vain­queur du cocon. Et pourquoi ne pas rester dans le con­fort du cocon ? Cer­tains jours, la lutte est si dif­fi­cile que la che­nille doit sûre­ment y penser. Mais le prix de la lib­erté, de l’évasion et de la décou­verte du monde, c’est la lutte pour percer les solides parois du cocon. C’est le seul moyen. Pourquoi Jésus a‑t-il envoyé ses dis­ci­ples dans la tem­pête sur la mer de Galilée ? Pour leur appren­dre à lui faire con­fi­ance dans toutes les sit­u­a­tions de la vie. Bien­tôt, il allait les quit­ter, alors il a util­isé dif­férentes expéri­ences pour les équiper pour l’avenir. Que ten­tez-vous de vain­cre aujourd’hui ? Au lieu de vous en plain­dre ou de deman­der à Dieu de vous en exempter, voyez-le comme une pré­pa­ra­tion à ce qu’il vous a appelé à faire. Lisez ces ver­sets : « Heureux l’homme qui endure la ten­ta­tion » (Ja 1.12). « Au vain­queur je don­nerai à manger de l’ar­bre de vie » (Ap 2.7). « Heureux ceux qui sont per­sé­cutés à cause de la jus­tice, car le roy­aume des cieux est à eux » (Mt 5.10). « Ne sois pas vain­cu par le mal, mais vain­queur du mal par le bien » (Ro 12.21). « Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pou­voir tenir ferme con­tre les manœu­vres du dia­ble » (Ep 6.11). Aujourd’hui vous êtes appelé(e) à vaincre.