Jean écrit : « Je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, prête comme une épouse qui s’est parée pour son époux. J’entendis du trône une forte voix qui disait : voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Celui qui était assis sur le trône dit : voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il dit : écris, car ces paroles sont certaines et vraies » (v.2–5). Un athée décède et ses amis défilent devant son cercueil, quand l’un d’eux dit : « Comme c’est triste, si bien habillé et nulle part où aller ! » Faux pour le croyant ! Un enfant racheté de Dieu est assuré d’un foyer au ciel et d’une citoyenneté dans « la nouvelle Jérusalem ». Jean poursuit : « Celui qui me parlait avait pour mesure un roseau d’or, afin de mesurer la ville » (v.15). Sa taille est précisée au verset suivant. Elle s’étendrait des Carolines à la Californie et du Canada au Mexique. C’est environ quarante fois la taille de l’Angleterre, dix fois celle de la France. Et ce n’est que le rez-de-chaussée ! La hauteur est comparable à la largeur, six cent mille étages, plus qu’assez d’espace pour que des milliards de personnes puissent aller et venir. Alors voici la question : quand vous mourrez, irez-vous au ciel ?
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