Parole du Jour
Parole du Jour 
Dieu peut sup­primer mon passé (2)
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Observez un enfant qui s’amuse avec une ardoise mag­ique. Dès qu’il com­met une erreur dans le dessin, il peut juste la retourn­er pour tout effac­er et recom­mencer à l’infini. C’est ain­si que Dieu gère mes fautes. Il net­toie l’ardoise. Il ne se sou­vien­dra plus de mon péché. C’est sans doute l’une des plus mer­veilleuses affir­ma­tions de la Bible : Dieu oublie ! Lorsque j’avoue ma faute et demande à Dieu de me par­don­ner, il annule mon passé. Il choisit d’ou­bli­er mes torts et mes échecs. Même si je meurs ce soir, et face à Dieu dans le ciel je lui par­le d’un péché que j’aurais com­mis hier, il dirait : « Quel péché ? » Lorsque je nie mon péché, je refuse à Dieu la joie de me par­don­ner. Si je tente de le jus­ti­fi­er, Dieu per­met que les con­séquences en devi­en­nent si douloureuses que j’aurais hâte de m’en détourn­er. Mais si je le lui con­fesse, la Bible dit : « Nous pou­vons avoir con­fi­ance en Dieu, car il est juste : il par­don­nera nos péchés et nous puri­fiera de tout mal » (1Jn 1.9, BFC). Le fils prodigue a brisé le cœur de son père, dilapidé son héritage pour finir dans la fange par­mi les cochons. Mais c’est alors que com­mence l’histoire de sa rédemp­tion et de son retour : « Ren­tré en lui-même, il se dit : com­bi­en d’employés chez mon père ont du pain en abon­dance, et moi ici, je péris à cause de la famine. Je me lèverai, j’i­rai vers mon père et lui dirai : père, j’ai péché con­tre le ciel et envers toi » (Lu 15.17–18). Le père s’est réjoui et lui a par­don­né. Aujourd’hui, Dieu fera de même pour celui ou celle qui revien­dra vers lui.