Quand les affaires vont mal

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Quand les affaires vont mal

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Si votre entre­prise fait fail­lite, vous allez per­dre con­fi­ance, tran­quil­lité d’esprit et som­meil. Même votre famille en sera affec­tée. Si vous en êtes là aujour­d’hui, lisez ces mots : « Dieu est pour nous un refuge et un appui, un sec­ours qui se trou­ve tou­jours dans la détresse ». Réfléchissez un instant : tout ce que vous pos­sédez appar­tient à Dieu, y com­pris vos affaires, non ? Il est le pro­prié­taire et vous êtes le gérant. Ain­si, face aux prob­lèmes, vous avez le droit et la respon­s­abil­ité de lui deman­der de l’aide et d’attendre qu’il inter­vi­enne en votre faveur. Alors que per­son­ne ne trou­vait de pois­son, Jésus a indiqué aux dis­ci­ples l’endroit où rem­plir les filets. La Bible dit que rien n’est trop dif­fi­cile pour Dieu (voir Jér 32.27), et c’est val­able pour tous les prob­lèmes dans toutes les sit­u­a­tions. L’auteur des Proverbes a dit : « Con­fie-toi en l’Éter­nel de tout ton cœur, et ne t’ap­puie pas sur ton intel­li­gence ; recon­nais-le dans toutes tes voies, et c’est lui qui aplani­ra tes sen­tiers » (Pr 3.5–6). Il peut vous guider à tra­vers les con­seils d’un ami qui réus­sit là où vous échouez. Salomon dit encore : « Quand on ne con­sulte per­son­ne, les pro­jets échouent. Grâce à de nom­breux con­seils, ils se réalisent » (Pr 15.22, BFC). Par­fois, il fau­dra chang­er de cap, ce qui demande du courage et de l’en­gage­ment. Mais si votre entre­prise est intè­gre, équitable, si vos pro­duits et vos ser­vices sont de qual­ité, vous avez le droit de vous adress­er à Dieu dans les moments dif­fi­ciles, de deman­der son aide et d’espérer la recevoir.