Parole du Jour
Parole du Jour 
Plan­er au-dessus des soucis (2)
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Lorsque j’analyse mes inquié­tudes avec sincérité, je suis face à trois écueils. 1) J’oublie que Dieu est mon ami. Le Psalmiste a dit : « Le Seigneur con­fie son secret à ses fidèles » (Ps 25.14, BFC). L’ami­tié avec Dieu se con­stru­it lorsque je partage avec lui mes expéri­ences de vie : mes activ­ités, mes con­ver­sa­tions, mes prob­lèmes, mes pen­sées. Si je ne le fais pas, je vais finir par l’ignorer, ne plus enten­dre sa voix, refuser sa cor­rec­tion et ne plus être en phase avec son plan. Et inévitable­ment, je vivrai dans l’in­quié­tude ! 2) J’accepte ce que je ne devrais pas. Peter Mar­shall a prié : « Père je te prie de réfrén­er ma ten­dance à me dis­pers­er au point d’être exposé à la peur et au doute, à la las­si­tude et à l’im­pa­tience, ce qui me fait per­dre mon sang-froid, me prive de la paix de l’e­sprit, rend gris le ciel bleu, prive mon cœur de joie. » Je perds la paix du cœur lorsque je m’efforce de mon­tr­er une bonne image de moi, essaye d’imiter les autres, veux arranger tout le monde et répon­dre à leurs attentes. 3) Je fais une dif­férence entre le pro­fane et le sacré. Soit Jésus est le Seigneur de tous les domaines de ma vie, soit il ne l’est d’aucun. Je pense que cer­tains aspects de ma vie sont du ressort de Dieu, d’autres non. Mais la Bible dit : « Ne t’ap­puie pas sur ton intel­li­gence, mais de tout ton cœur, mets ta con­fi­ance dans le Seigneur. Recon­nais-le dans tout ce que tu fais, et lui, il guidera tes pas » (Pr 3.5–6, PDV). Dans le cas con­traire, je vivrai dans l’inquiétude !