Voici deux raisons pour lesquelles on résiste au changement. 1) C’est difficile et désagréable. Quand ai-je entrepris une chose inédite pour la dernière fois ? Si je ne m’en souviens pas, c’est que ma zone de confort est peut-être devenue une ornière. Une affiche sur un mur disait : « Si ce n’est pas cassé, ne le réparez pas. » La phrase était barrée. Une autre phrase disait : « Si ce n’est pas cassé, cassez-le ! » Parfois, la seule façon de sortir du cadre c’est de s’en évader. 2) Je m’accroche à la tradition. Les Pharisiens ne pouvaient pas recevoir la vérité parce qu’ils étaient liés par leurs traditions. Souvent, il en est de même pour chacun(e). On suppose que si c’est une tradition, c’est-à-dire établi depuis longtemps, c’est forcément mieux. Ce n’est pas toujours le cas, comme l’ont démontré des adeptes du changement tels Thomas Edison et Henry Ford : « Combien de conservateurs faut-il pour changer une ampoule ? Réponse : « Quatre : un pour la changer et trois pour dire à quel point l’ancienne ampoule était fantastique ! » Lorsqu’une tradition me relie à d’autres personnes ou à mon histoire personnelle, elle peut être bonne. Si ce n’est pas le cas, il est peut-être temps d’innover. La Bible dit : « Le sentier des justes est comme la clarté de la lumière, qui va croissant jusqu’au plein jour. La voie des méchants est comme l’obscurité ; ils ne savent pas ce qui les fait trébucher » (Pr 4.18–19, NBS). Alors, quels changements dois-je opérer dans ma vie ?
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