La grat­i­tude n’a que des avan­tages. Elle améliore le rythme car­diaque, réduit le stress, vous aide à rester en bonne san­té et à garder les idées claires sous la pres­sion. Votre corps et votre cerveau pro­duisent des endor­phines qui vous for­ti­fient et vous régénèrent. Comme un mus­cle, plus vous l’ex­ercez, plus elle grandit. C’est sim­ple, démar­rez la journée par une balade et pensez à toutes vos béné­dic­tions. Le psalmiste a dit : « Mon âme, bénis l’Éter­nel, et n’ou­blie aucun de ses bien­faits » (Ps 103.2). Les béné­dic­tions de Dieu sont actives 24 heures sur 24, 365 jours par an. Essayez ceci : avant de vous met­tre à table, deman­dez à cha­cun de citer une chose pour laque­lle il peut être recon­nais­sant. Il y en a tou­jours une. Une vieille dame dans un hos­pice a dit : « Mer­ci, Seigneur, pour mes deux bonnes dents, une en haut et une en bas. Et mer­ci qu’elles se touchent ! » Le psy­cho­logue Mar­tin Selig­man sug­gère d’en­voy­er une let­tre à quelqu’un, puis de lui ren­dre vis­ite et de la lui lire. Dire mer­ci vous rend objec­tive­ment plus heureux et moins déprimé. Un patron a boosté toute son entre­prise en rédi­geant plus de seize mille notes de remer­ciement à ses employés. Allez‑y, encour­agez vos amis et vos col­lègues de tra­vail en leur mon­trant que vous appré­ciez ce qu’ils font. La Bible dit : « Qu’ils soient bons et mon­trent sans cesse de la douceur envers tous » Un auteur observe : « Tout le bon­heur du monde se trou­ve dans quelques mer­cis adressés au soli­taire et au découragé. Vous oublierez peut-être les mots gen­tils que vous avez dits, mais le des­ti­nataire pour­rait bien les chérir pour la vie ».