Le Psalmiste a dit : « Goûtez et voyez com­bi­en l’Éter­nel est bon ». Portez une atten­tion par­ti­c­ulière aux mots « goûtez » et « bon ». Ce que vous croyez de Dieu se man­i­feste dans votre façon de vivre. Être bon, c’est faire le max­i­mum dans la lim­ite de ses con­nais­sances. Et puisque Dieu est omni­scient, il sait par­faite­ment ce qu’il y a de mieux pour chacun(e) ! Sa bon­té est indé­ni­able. Parce que Dieu est bon, vrai­ment, con­stam­ment, on débor­de de bien-être, de sécu­rité, de paix, de con­fi­ance et de joie ! Un Dieu bon ne peut pas trahir sa promesse, aban­don­ner ses enfants, ou man­quer de les aimer et de les bénir. Soyez sûr(e) qu’en toutes cir­con­stances, il vous trait­era de la meilleure façon pos­si­ble. Lorsque votre vie s’ef­fon­dre, il est par­fois dif­fi­cile de voir la bon­té de Dieu et de sen­tir une amélio­ra­tion future. C’est là que vous devez utilis­er la foi que Dieu vous a déjà don­née, et par un acte de votre volon­té, lui faire con­fi­ance (voir Ro 12.3). Un chré­tien en dif­fi­culté se con­fie à son pas­teur : « Dites-moi, le monde est-il en plein chaos pour vous aus­si ? » Le pas­teur répond : « Oui, le même chaos que celui de la graine qui éclate. Sans subir cette étape, au cours de laque­lle son univers s’ef­fon­dre, le gland ne pour­rait jamais don­ner vie à un chêne. Alors respecte la volon­té de Dieu dans cette épreuve parce qu’elle est bonne, accept­able et par­faite, quelle que soit la sen­sa­tion que tu ressens en ce moment (voir Ro 12.2). » Finale­ment vous le ver­rez : « l’Éter­nel est bon ! Heureux l’homme qui se réfugie en lui ! »