Quand vous passez le por­tique de sécu­rité à l’aéroport, vous êtes tenu de vider vos poches. Si vous ne le faites pas, le por­tique se met à son­ner. Et si vous cherchez à dis­simuler une arme à feu ou un couteau, vous serez sans doute arrêté. Votre con­science fonc­tionne de la même manière. Quand vous faites délibéré­ment le mal, l’Esprit Saint qui vit en vous, en aver­tit votre con­science et déclenche une alarme. Si vous êtes sen­sé, vous vous repen­tez et vous pro­posez une répa­ra­tion. Pourquoi ? Parce que vos alter­na­tives n’ont rien de réjouis­sant ! « Cette con­science, quelques-uns l’ont aban­don­née et ont ain­si fait naufrage en ce qui con­cerne la foi » (1Ti 1.16). En par­lant de naufrage, imag­inez le Titan­ic. C’est fait ? Quand Dieu dit non, il ne cherche pas à être dif­fi­cile ; il cherche à vous pro­téger des ice­bergs vers lesquels vous vous dirigez. Cer­tains ont un sys­tème de sécu­rité chez eux. Quand on ouvre la porte, on a trente sec­on­des pour étein­dre l’alarme, avant que la police n’appelle. Dieu vous a équipé d’un sys­tème d’alarme très sim­i­laire : votre con­science. Vous pou­vez : 1) l’éteindre ; 2) l’ignorer ; 3) le laiss­er vous diriger et laiss­er Dieu vous bénir. L’auteur du livre des Hébreux écrit : « Priez pour nous ; car nous sommes con­va­in­cus d’avoir une bonne con­science, avec la volon­té de nous bien con­duire à tous égards » (Hé 13.18). Voilà ce que devrait être votre prière aujourd’hui et chaque jour !