
Lorsque vous apprenez à vous pardonner, c’est que vous acceptez votre humanité, ainsi que vos imperfections. Vous réalisez que ce que vous avez vécu avec la grâce de Dieu a fait de vous la personne que vous êtes aujourd’hui. Une poétesse écrit : « Avec le temps, on apprend la différence subtile entre tenir une main et s’enchaîner à une âme. On réalise que l’amour n’est pas synonyme de sentiment amoureux, et que les relations ne sont pas toujours synonymes de confiance. On réalise que les baisers ne sont pas des contrats et que les cadeaux ne sont pas des promesses. On accepte les défaites la tête haute, le regard tourné vers l’avenir avec les yeux d’un adulte et non le chagrin d’un enfant. On apprend à bâtir sur le présent, car le sol de demain est trop incertain pour échafauder des plans et parce que l’avenir est inconnu. On comprend que même le soleil brûle si on y est exposé trop longtemps. Alors on plante son propre jardin et on décore son âme, au lieu d’attendre que quelqu’un nous apporte des fleurs. On découvre ainsi sa capacité de résistance, sa force et sa valeur inestimable ! » Ces paroles peuvent se résumer ainsi : « Vivre la vie, avec ses exigences. » Est-ce facile ? Non. Mais lorsque la vie devient difficile, Dieu promet : « Sois sans crainte, car je suis avec toi ; n’ouvre pas des yeux inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite victorieuse. » C’est une promesse sur laquelle on peut s’appuyer !