Une attaque de Satan peut être le sig­nal d’un réveil. Le saviez-vous ? Quand vous refusez de recon­naître votre péché et  vous repen­tir, le mur de pro­tec­tion qui vous entoure se fis­sure et Satan est libre de s’en­gouf­fr­er dans la brèche. Paul écrit à l’Église de Corinthe : « On entend dire partout que, chez vous, cer­tains ont une vie immorale. Et leur façon de vivre est si mau­vaise qu’on ne la trou­ve même pas chez ceux qui ne con­nais­sent pas Dieu ! Il paraît que l’un de vous a pris la femme de son père ! Et vous vous gon­flez d’orgueil ! Vous devriez plutôt être pleins de tristesse ! Vous devriez chas­s­er de votre com­mu­nauté l’homme qui vit de cette façon » (v.1–2). Puis Paul demande aux respon­s­ables : « Livrez cet homme à Satan ! Son corps sera détru­it, mais par là, lui-même pour­ra être sauvé le jour où le Seigneur vien­dra ». Plus tard, l’homme se repent et Paul sug­gère qu’il soit réin­té­gré dans la com­mu­nauté. En sub­stance, Paul avait dit : « Qu’il soit con­duit au dés­espoir pour l’inciter à revenir dans les bras de Dieu. » Paul dit encore : « Quelques-uns ont refusé d’é­couter leur con­science et ont causé ain­si le naufrage de leur foi. Par­mi eux se trou­vent Hyménée et Alexan­dre ; je les ai livrés à Satan afin qu’ils appren­nent à ne plus faire insulte à Dieu » (1Ti 1.19–20, BFC). Dieu est-il con­tent de nous voir souf­frir ? Pas plus qu’un par­ent qui cor­rige son enfant. Mais l’amour divin impose des choix dra­coniens. Une tape sur l’é­paule suf­fi­ra à réveiller cer­tains. D’autres auront besoin d’un coup de mas­sue sur la tête. Et si jamais Dieu a besoin d’une mas­sue, Satan est prévenu.