L’âge n’est qu’une date sur un cal­en­dri­er. Ce qui compte, c’est l’attitude. Vous pou­vez être vieux à 29 ans et jeune à 92 ans. Lar­ry King a inter­rogé Ty Cobb, une légende du base­ball : « Quel score penseriez-vous attein­dre si vous jouiez aujourd’hui ? » Cobb, qui déte­nait encore le record absolu de 0,366 de moyenne au bâton, a répon­du : « 0,290 voire 0,300 ». « Est-ce dû aux déplace­ments, aux matchs en noc­turne, aux ter­rains syn­thé­tiques, et aux nou­velles tech­niques de lancer ? », a demandé King. « Non, c’est parce que j’ai 70 ans ! », lui a répon­du Cobb. Voici trois grands avan­tages à vivre longtemps : 1) Vous êtes plus tolérant. Étant vous-même déjà tombé dans bien des pièges de la vie, vous êtes plus rapi­de à ten­dre une main sec­ourable quand les autres y tombent. Sur­vivre aux défaites et vivre chaque jour un nou­veau com­bat vous per­met de for­ti­fi­er et redonner l’espoir à ceux qui lut­tent. 2) Vous êtes plus hum­ble. Un époux qui venait de fêter ses noces d’or a dit : « Un homme a tou­jours la jeunesse qu’il s’imagine avoir, mais rarement l’importance dont il se pré­vaut ». Quand vous vous ren­dez compte que le monde ne se plie pas à vos désirs, vous devenez plus réal­iste. Et par là-même vous trou­vez la paix. 3) Vous val­orisez le temps. Mar­garet Deland a dit : « Dès que vous vous sen­tez trop vieux pour quelque chose, faites-le ». Com­mencez par vous deman­der : « Qui, sinon moi ? Quand, sinon main­tenant ? » Appuyez-vous sur cette promesse de la Bible : « Ils sont encore féconds dans la vieil­lesse, ils sont pleins de sève et ver­doy­ants ». Allez, debout, et en avant !