
Au VIIe siècle, des missionnaires chrétiens sont arrivés à la cour du roi Edwin de Northumbrie, en Angleterre. Dans la grande salle du trône, baignés par la lumière flamboyante des torches, ils lui ont présenté l’Évangile. Le roi a écouté, puis demandé l’avis de ses conseillers. L’un d’eux dit alors : « La vie est comme une salle de banquet. Dedans, tout est lumière, chaleur et joie, mais dehors, il n’y a que ténèbres, froid et tristesse. Un moineau entre par une fenêtre et sort par une autre. Voilà à quoi ressemble la vie. À la naissance, on surgit de l’inconnu, et pendant un court instant, on vit ici-bas, dans un confort relatif. Puis vient le temps de s’envoler à nouveau vers l’inconnu. Ce livre peut-il éclairer l’obscurité qui nous attend ? ». Nous qui croyons en la résurrection pouvons répondre : « Oui ! » Un problème cardiaque, une tumeur maligne ou un accident de la route peuvent mettre un terme à la vie telle qu’on la connaît, mais ce n’est pas la fin ! Si vous ne le croyez pas, écoutez ce qu’en dit la Bible : « Si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés et ceux qui sont morts en Christ sont perdus. Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes. Mais maintenant, Christ est ressuscité d’entre les morts, il est les prémices de ceux qui sont décédés » (1Co 15.17–20). Pour le croyant, la fin de la vie sur terre est le début d’une vie glorieuse avec Christ au ciel !