"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don
Aider les autres permet de s’épanouir. Après une journée passée à les servir, on peut enfin dormir en paix. Même si on a couru toute sa vie après les richesses, il n’est jamais trop tard pour changer. Le vieux Scrooge, personnage de Dickens un peu avare, l’a bien compris et a fini par devenir généreux ! Alfred Nobel a été choqué de lire son propre avis de décès dans le journal ! En fait, c’était celui de son frère, mais l’éditeur s’était trompé de prénom. On y apprenait qu’il s’était enrichi en fabriquant et en vendant de la dynamite, explosif responsable de tant de morts ! C’est alors qu’il s’est juré de consacrer son existence à promouvoir la paix et à en valoriser ses artisans : les Prix Nobel étaient nés. Quand on s’oublie et qu’on s’intéresse à son voisin, on commence réellement à vivre. L’altruisme contient sa propre récompense. Il ne dépend pas de la réaction d’autrui. L’apôtre Paul vivait ainsi : « Je ferai très volontiers des dépenses, et je me dépenserai […] pour vos âmes. En vous aimant davantage, serai-je moins aimé de vous ? » (v.15). L’égoïsme est compréhensible chez un enfant de quatre ans, mais chez un adulte de quarante ? La générosité est la vertu qui permet le mieux d’en cultiver d’autres. Certes, elle va à l’encontre de la nature humaine, mais en apprenant à donner et à mettre son prochain en avant, les valeurs de gratitude, d’amour, de respect, de patience et de discipline se cultiveront plus facilement.
"En lisant les textes de Parole du Jour, mon comportement a commencé à changer positivement, je suis devenue plus tolérante." Hélène Je fais un don