"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

Le monde vénère la for­tune, la puis­sance, le tal­ent et la gloire. Servir est sou­vent vu comme mépris­able. Mais Jésus prend en compte d’autres critères quand il demande à ses dis­ci­ples : « Qui est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Et moi, cepen­dant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert ». Paul a dit que Jésus « a de lui-même renon­cé à tout ce qu’il avait et il a pris la con­di­tion de servi­teur » (Ph 2.7). Pour servir, il con­vient d’abord de se libér­er de son égo­cen­trisme, il faut donc mourir à soi-même. Un chré­tien se dit volon­tiers servi­teur, mais quelle sera sa réac­tion si on le traite comme tel ? Dans la cham­bre haute, les dis­ci­ples veu­lent tous une place de choix, mais Jésus cherche une place de servi­teur ! Alors qu’ils atten­dent d’être servis, Jésus prend une bas­sine et leur lave les pieds. A votre avis, com­ment se sen­taient-ils ? Le monde vous juge au nom­bre de vos servi­teurs. Mais Dieu regarde le nom­bre de gens que vous servez. Il hon­ore le tra­vail dés­in­téressé, sans mur­mure ou soif de recon­nais­sance. En fait, il faut plus de force de car­ac­tère pour servir les autres que pour rester assis et se faire servir. Deman­dez-vous si ces derniers temps, vous êtes plus sou­vent à table que debout. Priez Dieu de vous don­ner un esprit altru­iste et un cœur de servi­teur et com­mencez à chercher des occa­sions de servir là où il vous place. Pourquoi ? Parce que Jésus a vécu pour servir. Aujourd’hui il vous dit : « Le servi­teur n’est pas plus grand que son maître » (Jn 15.20).

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don