Voici qua­tre ques­tions en forme de test : 1) Les gens se sen­tent-ils mieux après avoir passé du temps avec vous ? 2) Vos attentes sont-elles si élevées que vous regardez plus aux défauts qu’aux qual­ités des autres ? 3) Lorsque quelqu’un fait l’éloge d’une per­son­ne que vous n’aimez pas vrai­ment, sen­tez-vous le besoin de gliss­er une remar­que désoblig­eante ? 4) Avez-vous si peu d’as­sur­ance et d’es­time de soi que vous ne vous sen­tez bien qu’en rabais­sant les autres ? Alors ? Test réus­si ? Si vous n’avez pas répon­du « oui, non, non et non », il est temps de pass­er du temps avec Dieu en prière et lui deman­der de vous aider à chang­er de com­porte­ment et de dis­cours. Paul dit : « Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mal­saine, mais s’il y a lieu, quelque bonne parole qui serve à l’éd­i­fi­ca­tion néces­saire et com­mu­nique une grâce à ceux qui l’en­ten­dent » (Ep 4.29). Tels des marteaux, les mots peu­vent être util­isés pour démolir ou pour bâtir. Tout dépend de la per­son­ne qui manie le marteau ! Il est aus­si sim­ple de faire par­tie des bâtis­seurs que des démolis­seurs. Prenez l’habi­tude d’en­cour­ager votre famille et vos amis. Don­nez à votre épouse le sen­ti­ment qu’elle est pour vous la seule femme au monde. Com­pli­mentez votre mari pour son atten­tion et son sens de la respon­s­abil­ité. Félicitez votre ado­les­cent pour avoir évité la drogue et l’al­cool. Remer­ciez vos amis d’avoir gardé vos secrets ! Acceptez les gens tels qu’ils sont, et résis­tez à la ten­ta­tion de vouloir con­stam­ment les repren­dre. Sou­venez-vous, vous ne les avez que pour un temps très court !