À pro­pos de Jésus, la Bible dit : « Il a accep­té de mourir sur la croix, […] parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée ; et main­tenant il siège à la droite du trône de Dieu. Pensez à lui, à la façon dont il a sup­porté une telle oppo­si­tion de la part des pécheurs. Et ain­si, vous ne vous lais­serez pas abat­tre » (v.2–3). Votre vision nour­rit votre pas­sion. Dieu trans­forme sou­vent les pires pécheurs en grands servi­teurs. Ils sont pas­sion­nés, et cette pas­sion une fois domp­tée les rend effi­cients dans son roy­aume. Vous com­prenez main­tenant pourquoi l’ennemi veut à tout prix vous détru­ire. Comme votre pas­sion est en accord avec le plan de Dieu, il sait que rien ne vous arrêtera. La pas­sion est énergie spir­ituelle. Sans elle, vous êtes aus­si mou qu’un marsh­mal­low et aus­si fade qu’un régime sans sel. Alors au lieu d’étouffer votre pas­sion, laiss­er Dieu la réori­en­ter. Jésus aver­tit l’Église de la fin des temps : « Je sais que tu n’es ni froid ni bouil­lant. Si seule­ment tu étais l’un ou l’autre ! » (Ap 3.15, BFC). À qui s’adresse-t-il ? À de bons chré­tiens qui vivent comme tout le monde, la pas­sion en moins. Ils se con­tentent de suiv­re le mou­ve­ment ! La Bible dit : « Goûtez et voyez » (Ps 34.8), autrement dit, mon­tez au filet et bal­ancez la raque­tte ! Et si vous ratez la volée ? C’est sûr que vous allez rater si vous ne bougez pas. Votre instinct de con­ser­va­tion peut vous vol­er la seule chance de votre vie. Si vous êtes au plus mal aujourd’hui, relevez-vous. Si vous ratez, recom­mencez. Deman­dez à Dieu de ral­lumer les feux de la pas­sion en vous.