"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

L’histoire de Joseph est l’une des plus fréquem­ment évo­quées quand on veut par­ler de l’épreuve. Joseph était envié par ses frères parce qu’il était l’enfant préféré de leur père et qu’il leur racon­tait ses rêves, dans lesquels tout le monde se proster­nait devant lui. Plus tard, ses frères l’ont ven­du et il est devenu esclave dans la mai­son de Potiphar. Il avait tout per­du : sa famille, sa cul­ture, sa sécu­rité et son statut de fils préféré. Que lui restait-il ? Il vivait en terre étrangère, dans une mai­son incon­nue, sans amis, sans avenir ni expli­ca­tion. Mais voilà que : « Le Seigneur était avec Joseph » (Ge 39.2, BFC). Que se passe-t-il lorsque vous perdez tout et décou­vrez que Dieu suf­fit ? Vous goûtez à sa présence d’une manière toute nou­velle ! Paul a écrit : « Qui peut nous sépar­er de l’amour du Christ ? La détresse le peut-elle ou bien l’an­goisse, ou encore la per­sé­cu­tion, la faim, les pri­va­tions, le dan­ger, la mort ? […] En tout cela nous rem­por­tons la plus com­plète vic­toire par celui qui nous a aimés » (Ro 8.35, 37, BFC). Dieu ne créait pas les cir­con­stances que Joseph désir­ait, mais il util­i­sait les cir­con­stances défa­vor­ables pour créer le Joseph qu’il désir­ait. Tout comme un dia­mant est obtenu à par­tir d’un morceau de car­bone ayant subi une énorme pres­sion, de même le car­ac­tère de Christ est for­mé en vous au tra­vers de l’adversité. Allez-vous tenir ou fléchir ? Lorsque Paul a pen­sé ne plus pou­voir tenir, Dieu lui a dit : « Ma grâce te suf­fit ». Avez-vous déjà fait cette expéri­ence ? Pour vous aus­si, sa grâce est suffisante.