Vous con­nais­sez prob­a­ble­ment la parabole des dix vierges dont cinq étaient sages et cinq impru­dentes. À l’époque, pour par­ticiper à un mariage, il fal­lait une lampe à huile allumée. Dans le réc­it, à l’ar­rivée du mar­ié, cinq d’en­tre elles n’avaient plus d’huile. Elles en ont demandé aux cinq autres, qui ont répon­du : « Non, car il n’y en aurait pas assez pour nous et pour vous » (Mt 25.9, BFC). Pen­dant qu’elles étaient par­ties en acheter, les noces ont com­mencé et elles sont restées dehors. Jésus nous donne là qua­tre leçons pri­mor­diales : 1) Il est insen­sé de dépen­dre d’autrui. Vos par­ents sont peut-être chré­tiens, mais ils ne vous con­duiront pas au ciel. C’est à vous d’accepter Christ comme votre sauveur per­son­nel. 2) Il est illu­soire de se pré­par­er à la dernière minute. « Pen­dant qu’elles allaient en acheter, le mar­ié arri­va » (Mt 25.10, NBS). Remar­quez que l’en­seigne­ment de Jésus con­cerne la généra­tion qui vivra au moment de son retour. Allez-vous reporter au terme de votre vie la déci­sion de suiv­re Christ ? 3) Le juge­ment a un car­ac­tère défini­tif. « On fer­ma la porte à clé. Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent et s’écrièrent : “Maître, maître, ouvre-nous !” Mais le mar­ié répon­dit : “[…] je ne vous con­nais pas” » (Mt 25.10–12, BFC). 4) Le salut par les œuvres est une utopie. Ces jeunes filles étaient vierges, et pour­tant elles sont restées dehors. Ni notre car­ac­tère ni nos œuvres ne nous sauveront. « C’est par la grâce en effet que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi » (Ep 2.8). Êtes-vous prêt à ren­con­tr­er Christ ? Si ce n’est pas le cas, met­tez votre foi en lui main­tenant, et soyez prêt.