Ne passez pas au feu rouge. Quand vous cherchez la volon­té de Dieu, le tim­ing est impor­tant. Atten­dez qu’il ouvre la porte, parce qu’« il ouvre et per­son­ne ne peut fer­mer, il ferme et per­son­ne ne peut ouvrir » (Ap 3.7, PDV). Vous aurez tou­jours des ennuis si vous vous mon­trez impa­tient, agis­sez indépen­dam­ment de Dieu, ou vous pré­cip­itez dans un piège de l’ennemi. Dieu ne demande pas votre avis, il demande votre obéis­sance. Les feux rouges font par­tie de sa stratégie. Lorsque Dieu est aux com­man­des, une porte fer­mée est aus­si impor­tante qu’une porte ouverte. Il a fer­mé les portes de l’Asie et de Bithynie à Paul, puis il lui a ouvert celles de la Macé­doine (Ac 16.6–10). Tenez compte du coup de sif­flet de l’ar­bi­tre. Le rôle du Saint-Esprit est vital ; lui seul sait ce que Dieu pense, et peut vous empêch­er de vous per­dre en con­jec­tures. Jésus a dit : « Quand l’E­sprit de vérité vien­dra, il vous con­duira dans la vérité tout entière. […] il vous annon­cera ce qui doit arriv­er » (Jn 16.13, PDV). Développez votre sen­si­bil­ité aux con­seils du Saint-Esprit en le con­sul­tant pour les petits prob­lèmes. Vous n’avez pas besoin d’être une poin­ture en théolo­gie ; vous êtes déjà pleine­ment qual­i­fié ! La Bible affirme : « Tous ceux que l’E­sprit de Dieu con­duit sont enfants de Dieu » (Ro 8.14, PDV). Quand l’E­sprit vous con­duit, il vous met dans le cœur une paix pro­fonde. « Que la paix du Christ règne dans vos cœurs » (Col 3.15, BFC). Faites de cette paix de Dieu, « l’ar­bi­tre » de votre vie. De cette façon vous ne vous tromperez jamais.