"J’ai traversé des périodes très difficiles. Mais en lisant Parole du Jour, j’ai pu me relever et voir Dieu agir. Je suis convaincue maintenant qu'Il a toujours son plan dans tout ce qui arrive." Marie Je fais un don

Pour Aris­tote, la mort est ce qu’il faut crain­dre le plus. Pour Sartre, elle ôte tout sens à la vie. Robert Inger­soll, fer­vent agnos­tique, a dit : « La vie est une étroite val­lée entre les som­mets froids et arides de deux éter­nités. Nous ten­tons en vain de regarder au-delà de ces hau­teurs ». Les dernières paroles de Rabelais ont été : « Tirez le rideau, la farce est ter­minée ». Dans Ham­let, Shake­speare décrit l’au-delà comme « la crainte de quelque chose après la mort, le pays incon­nu dont nul voyageur ne revient ». Claire­ment, être incroy­ant n’est pas qu’une façon mis­érable de vivre ; c’est une façon trag­ique de mourir. Un acteur a dit un jour avec mal­ice : « J’ai l’intention de vivre éter­nelle­ment… jusque-là, tout va bien ». Et si la mort était dif­férente de ce qu’en pensent les philosophes ? Non une malé­dic­tion mais une passerelle ? Non une crise à éviter mais un virage à négoci­er ? Et si le cimetière n’était pas le domaine de la grande faucheuse, mais le ter­ri­toire du gar­di­en des âmes qui vien­dra bien­tôt annon­cer : « Réveillez-vous et tres­saillez de joie, habi­tants de la pous­sière » ? Paul écrit : « Si c’est dans cette vie seule­ment que nous espérons en Christ, nous sommes les plus mal­heureux de tous les hommes. Mais main­tenant, Christ est ressus­cité d’en­tre les morts, il est les prémices de ceux qui sont décédés. Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aus­si par un homme qu’est venue la résur­rec­tion des morts » (1Co 15.19–21). La mort n’est pas un rideau tiré. Votre dernier jour sur terre n’est qu’un début !

"Pour moi c'est un régal de méditer chaque jour Parole du Jour. Je vis la Parole et je l'expérimente. Je veux vraiment vous féliciter pour votre travail qui porte du fruit." Joséphine Je fais un don