Don­na Sav­age écrit : « Quand mon mari est devenu pas­teur, notre prêt immo­bili­er cou­vrait plus de la moitié de nos revenus. J’ai appris à ne plus pani­quer en pri­ant pour : 1) du dis­cerne­ment. L’ar­gent est lié à notre estime de soi. Il peut provo­quer la honte, la peur, l’orgueil, et la ran­cune. Mais la Parole de Dieu “éclaire, elle donne de l’in­tel­li­gence aux sim­ples” (Ps 119.130). 2) de la créa­tiv­ité. Si vous voulez plus d’ar­gent, vous devez gag­n­er plus et dépenser moins. Nous ser­vons un Dieu créatif, “et il récom­pense ceux qui le cherchent” (Hé 11.6). Deman­dez-lui de vous mon­tr­er com­ment aug­menter vos revenus. 3) des con­nex­ions. Les enfants con­nais­sent bien ce jeu qui con­siste à join­dre une série de points aléa­toires pour faire appa­raître une image cachée. Tout est affaire de bonnes con­nex­ions, et Dieu peut envoy­er les bonnes per­son­nes dans votre vie, avec des répons­es à vos besoins financiers. 4) du con­tente­ment. Tout comme un séisme révèle les faib­less­es des struc­tures de nos immeubles, la pres­sion finan­cière révèle nos faib­less­es spir­ituelles. Paul a dit : “J’ai appris à être ras­sas­ié” (Ph 4.12). “J’ai appris” est une phrase-clé. Nos épreuves nous ren­voient à l’é­cole du con­tente­ment, mais nous n’avons pas tous les mêmes efforts à faire. À tra­vers leurs soucis d’ar­gent, cer­tains décou­vrent la fidél­ité de Dieu ». Sav­age pour­suit : « Plus d’une fois, j’ai avoué à Dieu mon impuis­sance… Dépen­dre de lui est une aven­ture de tous les instants. La fidél­ité de Dieu n’est pas lim­itée à mon compte en banque, mes prières et mon fri­go peu­vent en témoigner. »