D’une seule touche sur votre clavier, vous pou­vez retrou­ver ce que vous avez stocké sur votre disque dur. Jésus a dit : « L’homme bon tire le bien du bon tré­sor de son cœur, et le mau­vais tire le mal de son mau­vais tré­sor, car c’est de l’abon­dance du cœur que la bouche par­le ». Plus vous gardez en mémoire de vieilles ran­cunes, plus vous devenez amer. Occu­pez-vous de votre colère sans tarder. Ne la lais­sez pas vous cuire à petit feu. Et ne restez pas planté(e) là dans l’e­spoir que l’autre va vous par­don­ner dans un éclair de lucid­ité. Et s’il ne le fai­sait jamais ? Jésus con­seille : « Si ton frère a péché, va et reprends-le seul à seul » (Mt 18.15). Qu’est-ce qui compte le plus pour vous : votre point de vue ou la rela­tion ? Lorsque vous emma­gasinez votre colère et refusez de traiter le prob­lème de façon saine, vous ajoutez un autre squelette dans votre plac­ard à émo­tions. Imag­inez l’ef­fet pro­duit sur vous. Les médecins dis­ent que les ressen­ti­ments provo­quent des ulcères à l’estom­ac, attaque­nt votre sys­tème immu­ni­taire, et vous prédis­posent aux prob­lèmes car­diaques, aux can­cers et autres désor­dres physiques ou moraux. Et ce n’est pas tout ! Ils ron­gent votre esprit, pom­pent votre énergie et paral­y­sent votre créa­tiv­ité. Ils abî­ment vos liens avec Dieu, votre famille et vos amis, tout comme ils inter­dis­ent à vos offenseurs de trou­ver l’oc­ca­sion de laver leur con­science et d’arranger les choses avec Dieu et vous. Si vous ne faites rien, vous traînerez le prob­lème comme un boulet. Refusez de vivre ain­si ! Deman­dez à Dieu l’hu­mil­ité et le courage de régler le prob­lème, aujourd’hui.