Pour savoir à quel point Dieu bénit votre argent, posez-vous trois questions. 1) Suis-je assez mûr(e) pour le gérer ? 2) Suis-je impatient(e) de récolter mais réticent(e) à semer ? 3) Est-ce que j’amasse ou est-ce que je distribue ? Dieu sait que nous ne pouvons pas tous donner la même somme. Jésus a félicité une veuve pour avoir donné ses deux dernières pièces, en disant : « Tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire » (Mr 12.44). D’un autre côté, le riche Barnabas « vendit un champ qu’il possédait, apporta l’argent et le déposa aux pieds des apôtres » (Ac 4.37). Plus Dieu bénit votre argent, plus il vous en tient pour responsable. Jésus affirme : « On exigera davantage de celui à qui l’on a beaucoup confié » (Lu 12.48). Au moment de la quête, un pasteur demande à son assemblée d’échanger leur portefeuille ou leur sac à main avec le voisin ou la voisine de devant. « Maintenant », dit-il, « ouvrez-le et donnez autant que vous l’auriez toujours voulu mais pensé que vous ne pouviez pas vous le permettre ! » En réalité, nous ne sommes pas tous appelés à donner une somme égale mais à faire un sacrifice égal. Les chances s’égalisent. Combien de fois n’avez-vous pas dîné chez des gens modestes et pourtant apprécié pleinement leur hospitalité ? L’essence de la générosité est le sacrifice de soi. Dieu bénit les finances de ceux qui ne sont pas contrôlés par l’amour de l’argent. Comment savoir si vous l’êtes ? Lorsque vous refusez de donner quand Dieu vous le demande. « Le juste donne sans restriction » Pr 21.26