"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Ce qui s’est passé ce jour-là sur le mont Gol­go­tha a boulever­sé le des­tin du monde. N’en déplaise aux détracteurs, le fait est réel et change la vie. Exam­inons-le. D’abord la cru­ci­fix­ion est voulue. Cer­tains pensent que Jésus était la vic­time de cir­con­stances hors de son con­trôle : la col­lu­sion entre la haine des Juifs et la puis­sance des Romains. Quelle erreur ! L’idée de résis­tance de Pierre par­tait d’un bon sen­ti­ment mais elle était mal­v­enue. Jésus l’a rejetée en dis­ant : « Pens­es-tu que je ne puisse pas invo­quer mon Père qui me don­nerait à l’in­stant plus de douze légions d’anges ? » (Mt 26.53). Jésus aurait pu choisir d’éviter les dif­fi­cultés, le cha­grin et même la mort. Nul ne l’a for­cé à se ren­dre à la croix. Il a dit : « Per­son­ne ne me prend la vie, mais je la donne volon­taire­ment. J’ai le pou­voir de la don­ner et j’ai le pou­voir de l’obtenir à nou­veau » (Jn 10.18, BFC). Son cal­vaire était cer­taine­ment injuste et immérité. Mais ce n’était pas une exé­cu­tion, c’était une expi­a­tion ! Ses enne­mis voulaient que la croix mette fin à sa vie, mais Jésus voulait qu’elle nous sauve de la perdi­tion. Après avoir tout fait en vain pour l’arrêter, ils enten­dent Pierre les con­fron­ter à cette vérité le jour de la Pen­tecôte : « Cet homme, livré selon le des­sein arrêté et selon la pre­science de Dieu, vous l’avez fait mourir en le clouant à la croix par la main des imp­ies » (Ac 2.23). Même le Père ne l’a pas for­cé. Jésus « s’est don­né lui-même en rançon pour tous » (1Ti 2.6), vous y compris !

"En lisant les textes de Parole du Jour, mon comportement a commencé à changer positivement, je suis devenue plus tolérante." Hélène Je fais un don